EN
A dark silhouette takes shape within the space, evolving in multiple suspensions under a hook.
The figuration of torture has been a constant concern of artistic representation (mythologies, Christian martyrs...) and is still present in the media today, adding an even more violent dimension. The ancient or contemporary pictures, carrying this production and reproduction of icons of suffering who repeat the same scenes and postures over the ages, form a timeless iconography of horror.
FR
Une silhouette obscure se détache dans l’espace, évoluant en de multiples suspensions sous un crochet.
La figuration des supplices fut un enjeu constant de la représentation en art (mythologies, martyrs chrétiens ...) et, aujourd’hui encore est présente dans les médias, lui conférant encore une autre dimension encore plus violente. Les images anciennes ou contemporaines, vecteurs de cette production et reproduction d’icônes de la souffrance, qui par-delà les époques reproduisent les mêmes scènes et postures apparaissent comme une iconographie intemporelle de l’horreur.
A dark silhouette takes shape within the space, evolving in multiple suspensions under a hook.
The figuration of torture has been a constant concern of artistic representation (mythologies, Christian martyrs...) and is still present in the media today, adding an even more violent dimension. The ancient or contemporary pictures, carrying this production and reproduction of icons of suffering who repeat the same scenes and postures over the ages, form a timeless iconography of horror.
FR
Une silhouette obscure se détache dans l’espace, évoluant en de multiples suspensions sous un crochet.
La figuration des supplices fut un enjeu constant de la représentation en art (mythologies, martyrs chrétiens ...) et, aujourd’hui encore est présente dans les médias, lui conférant encore une autre dimension encore plus violente. Les images anciennes ou contemporaines, vecteurs de cette production et reproduction d’icônes de la souffrance, qui par-delà les époques reproduisent les mêmes scènes et postures apparaissent comme une iconographie intemporelle de l’horreur.